Il est d'aucune aide que l'exposé des motifs précise qu'en ce qui concerne cette exemption, cl.
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(1) (c) de l'annexe 1 a été prévu comme une puissance de réserve pour être utilisé si les organisations tentent de concevoir des messages en vertu de cette exemption "qui sont clairement pas destiné à être exclus du champ d'application de ce projet de loi.» [54] Cette réserve du pouvoir laisse entendre que les rédacteurs aient envisagé une possibilité d'abus de cette exemption. Cependant, comme l'exposé des motifs ne explique pas la phrase, "les messages qui sont manifestement pas destinées à être exclues", l'incertitude au sein de cette exemption est pas résolu.
Encore une fois, il faut souligner qu'une clarification de ces questions permettrait de réduire utilisateur final confusion et accroître la confiance dans les communications électroniques. DCITA est d'avis que cette exemption est peu susceptible d'être abusé par les expéditeurs qui transmettent des informations purement car «il n'y a pas d'incitation commerciale pour les expéditeurs de ces messages à envoyer le même message à plusieurs reprises pour un seul compte.
" [55] Inversement, DCITA aussi reconnu le potentiel d'abus que cette exemption peut être à tort invoquée par des messages commerciaux. Il est admis que ce doit être adressée à des activités d'éducation et de sensibilisation plutôt que d'un changement de législation. [56]
C) Les fournisseurs de services commerciaux
Le Spam Act protège les fournisseurs de services commerciaux en supprimant leur responsabilité pour le spam envoyée en utilisant leurs services. [57] Cette exemption est appropriée et permet aux fournisseurs de ressources vers des solutions technologiques anti-spam.
Cependant, il peut y avoir un rôle plus actif pour les prestataires de service commercial à jouer. Indemnisation pour les fournisseurs de services de mettre fin à des spammeurs présumés pourrait être prévue dans la législation. Ce serait apaiser les risques des fou