Il voyait le communisme comme le meilleur espoir pour assurer le «bien-être des masses". Il vit la survie de l'Etat et le bien-être des masses étant inextricablement liés, car sûrement un état ne pouvait manquer dans sa guerre contre l'impérialisme si les masses se tenaient derrière lui à l'appui. Sa préoccupation pour le bien-être des masses est évidente dans son discours devant le deuxième Congrès national des travailleurs et des paysans représentants en Janvier 1934: "Je suggère vivement à ce congrès que nous portons une attention particulière au bien-être de la masses, des problèmes de la terre et du travail à ceux du carburant, le riz, l'huile de cuisson et le sel .
.. nous devrions convaincre les masses que nous représentons leurs intérêts, que nos vies sont intimement liées avec les leurs, "(se préoccuper du bien -Être des masses, Mao, 344). Au Vietnam, Ho Chi Minh a vu les choses de la même façon que Lénine et Mao. Il a également consulté la Première Guerre mondiale à la suite de "contradictions impérialistes» (d'appel lancé à l'occasion de la fondation du Parti communiste indochinois, Ho Chi Minh, 350).
Souffrant sous domination française exploitante après la Première Guerre mondiale, et de voir la seconde qui se profile à l'horizon, alors-expatrié Ho Chi Minh se trouva rejoindre le Parti socialiste français, car "ils ont montré une sympathie envers moi, envers la lutte des opprimés peuples "(le chemin qui me conduira à léninisme, Ho Chi Minh, 348). Il a vu que, après l'exploitation des Vietnamiens par les Français après la Première Guerre mondiale, le pays ne pouvait pas survivre à une seconde: "la deuxième guerre mondiale éclatera.
Quand il fait les impérialistes français vont certainement conduire notre peuple à un abattage encore plus horrible. Si nous laissons les préparer à cette guerre, opposer à la révolution chinoise et attaquer l'Union soviétique, si nous leur permettons d'étouffer la révolution vietnamienne. Cela