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AFFAIRE BREF - Magill v Magill (2006) 231 ALR 277

1. BackgroundThe cas de Magill v Magill concerne un couple de Victoria qui se sont mariés en 1988. Mme Magill enfanta un fils le 7 Avril 1989, un autre fils, le 30 Juillet 1990 et une fille le 27 Novembre 1991. Le couple se sépare en Novembre 1992. Après séparation, les enfants vivaient avec leur mère que plus tard appliqué pour le soutien des enfants. En 1995, M. Magill lu dans le journal des préoccupations de Mme Magill au sujet de la paternité de leur deuxième enfant. Ayant souffert d'une dépression nerveuse, Mme Magill a informé M.

Magill à propos de ses soupçons sur la paternité de leur deuxième enfant. Elle a avoué avoir une relation extra-conjugale sans l'utilisation de la contraception depuis 1989. Ses soupçons sur le deuxième enfant renforcé quand elle a vu la ressemblance de son fils à celle d'une photo de l'homme qu'elle avait eu la relation extra conjugale avec quand il était un enfant. Suite à cela, en 1996 et 1997, M. Magill caduque dans ses paiements de soutien aux enfants. Les tests ADN en 2000 ont confirmé que non seulement était le deuxième fils de ne pas la lignée de M. Magill, mais aussi la fille.

En conséquence, les paiements de pensions alimentaires pour enfants ont été réajustés pour refléter la responsabilité uniquement pour le premier fils. Les arriérés de M. Magill a été réduit pour tenir compte du montant payé pour les deux plus jeunes enfants. Des poursuites judiciaires ont ensuite été initiated.2. Proceedings2.1. Cour de comté VictoriaIn Janvier 2001, M. Magill a intenté une action en vertu du délit de tromperie contre Mme Magill.

Il a affirmé que les déclarations frauduleuses de son épouse faites sciemment ou par imprudence lui avaient fait d'agir comme un père pour les deuxième et troisième enfants, encourir des dépenses pour leurs soins. Il a également réclamé des dommages pour l'anxiété et la dépression attiré sur lui et pour la perte de revenus en raison de son incapacité à travailler de cette condition. Le juge de première instance en sa faveur et a accordé 30 000 $ pour douleur et souffrances, 35 000 $ pour la perte économique passée et 5000 $ pour la perte économique future.

Mme Magill a interjeté appel avec succès devant la Cour suprême de la Cour de Appeal.2.2 de Victoria. Cour d'appel de la Cour suprême du VictoriaIn la Cour d'appel, l'épouse a soutenu que le délit de tromperie ne pas appliquer à des représentations de la paternité. Toutefois, la Cour d'appel n'a pas abordé cette question après avoir constaté q

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