Le privilège maritime est reconnu le droit, au Pakistan perspective juridique
Par
SJ Tubrazy
Le privilège maritime est un puits -recognized droit, peut être fait référence au paragraphe. 1.204 des Lois de Halsbury d'Angleterre, troisième édition, volume-35, à la page 782, qui se lit comme suit: -
Les privilèges maritimes reconnus par l'anglais law.-
Les privilèges maritimes reconnus par l'anglais la loi sont ceux à l'égard des obligations à la grosse et respondentia, le sauvetage des biens, les salaires et les dommages des marins.
Un privilège maritime a été tenue de ne pas exister à l'égard de remorquage ou nécessaires. Il est douteux si oui ou non un privilège maritime existe à l'égard des droits de pilotage.
Droits et recours, semblable à celles dont bénéficie le titulaire d'un privilège maritime et appliquées de manière similaire, ont été créés par une disposition législative.
Ceux-ci comprennent le droit à la vie de sauvetage dans certaines circonstances si les sauveteurs de la vie ne se sont pas récupéré toute propriété; certaines allégations à l'égard de questions qui, bien que pas de salaire peuvent être récupérés de la même manière dans laquelle les salaires des marins peuvent être récupérés; créances pour les salaires, les décaissements et les passifs du capitaine d'un navire; réclamations relatives à des dommages causés aux terrains causés par des personnes rendant des services à un navire naufragé, échoué ou en détresse; revendique à l'égard des frais et des dépenses d'un receveur d'épaves; et les revendications à l'égard des dépenses des collectivités locales encourues à cause de l'enterrement ou la destruction de la carcasse d'un animal ou de la carcasse jetés ou lavés de tout navire.
Hautes Cours ordonnance (LXII de 1980) de l'Amirauté a expressément préservé la juridiction d'amirauté de la Haute Cour où il exerçait immédiatement avant le début de la présente ordonnance, ou qui est conféré par ou en vertu de toute loi aride toute juridiction ocre connecté avec les navires ou d'aéronefs en ce qui concerne les choses E en mer et qui a par la tradition ou de la coutume de la mer été exercé par un tribunal de juridiction de l'Amirauté.
À cet égard, on peut se référer à la condition du paragraphe
(2) de l'article 3 de l'ordonnance, qui se lit comme suit: -
"Avec toute autre juridiction pour les subventions de ces reliefs qui sont prévues en vertu de la Loi sur le Mercha