Il est clair que la crise financière de la Grèce a créé plus de tension au sein de l'Union européenne. Barbus TV- «experts» allemands remontent aux anciennes façons de louer le "mark" au-dessus de l'euro, affirmant que les Allemands seraient tous mieux lotis. Années et des années de renforcement de la confiance pour l'Euro, la nouvelle étoile montante de l'UE a été écrasé dans quelques semaines. Jeter un oeil inquiétante à l'Italie, l'Espagne et le Portugal, la confiance est une denrée rare dans l'UE.
Un récent sondage a montré que deux tiers des Allemands préfèrent jeter la Grèce de la zone euro à gérer leurs façons criblés de dettes. Fraternité semble différent.
Pendant ce temps, l'industrie allemande est heureux comme pourrait l'être. La faiblesse de l'euro stimule leur économie d'exportation-monté et est plus d'une bénédiction qu'une malédiction. Le même est vrai pour la France qui ont l'une des économies les plus saines d'Europe.
Ce cependant, ne semble pas influer sur l'opinion publique.
82% des Allemands opposent les 25 milliards € Grèce sauvetage, laissant la chancelière Merkel aucun choix mais pour réclamer des réformes grecques lourdes et profondes, qui sont à leur tour fortement critiqué par les syndicats grecs qui menacent «guerre civile». France appelle à son tour à «l'unité» et fait appel à l'esprit européen en affirmant qu'il serait improductif d'accuser l'autre. Le président Sarkozy peut parler pour parler, avec des "maigres" contribution de son pays de 3,9 milliards €.
Le Royaume-Uni est en train de rire, que leur statut de pays semi-européenne rend finalement hors bigtime. Amarrée à la livre semble pour sauver leur économie instable, comme il fortement basée sur les industries de service, une monnaie faible donnerait la Grande-Bretagne un coup fatal, car il a déjà un déficit budgétaire de 12,6 pour cent
. Dans ces moments, il semble que l'appel à "l'unité" de la France est risible. Le sauvetage de la Grèce n'a rien à voir avec la parenté, la fraternité ou de «l'esprit européen». Il est une mesure de sauver la monnaie de chaque pays.
Il semble que l'€ -Titanic avec les pays de la zone euro en tant que passagers a frappé l'iceberg, et chacun d'entre eux doit éviter la catastrophe, sinon le -ship de € va couler. Il est l'égoïsme qui renfloue la Grèce, et non interétatiques convivialité, et avec l'opinion publique opposée à l'UE, à l'hostilité européenne envers une autre est sur un nouveau sommet.