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Droit de la famille

(67% des pères voient leurs enfants au moins une fois une quinzaine de jours) plus une diatribe contre la partialité institutionnelle de la cour de droit de la famille envers les femmes, et l'histoire semble étonnamment convaincante. Ceci est, bien sûr, une présentation grossièrement trompeuses des faits. Mettons un peu de contexte: la grande majorité des cas d'accès /de garde sont élaborés par les parents eux-mêmes, et tout simplement entérinée par les tribunaux.

Dans une infime minorité de cas, les pères sont refusés contacts: en 2001, il était de 713 cas sur 55 000 dans les tribunaux de la famille. Il ya quelques cas vraiment terribles où l'un ou l'autre parent, ou les deux, se battre tout le chemin et l'utilisation du bien-être de leurs enfants à détruire la vie de leurs ex-partenaires. Mais ce ne sont pas simplement des mères qui font cela; pères utilisent les tribunaux tout aussi souvent pour traquer les ex-partenaires.

La tâche délicate insupportable pour les juges dans de telles situations est de rester loin de la cour d'être utilisé comme une arme dans une mission de vengeance. Raison de plus pourquoi il est intolérable de cibler la société des juges a chargé avec ce jugement de Salomon; leur travail est assez difficile, compte tenu de la cruauté de certaines ventilations relationnels. Que Pères pour la justice veut est un changement dans la loi pour donner pères le droit de voir leurs enfants et une présomption de 50/50 de la garde.

Mais cela signifierait mettre les droits des parents avant ceux des enfants. Comme ils le disent, quelques cas font de mauvais. Le dilemme difficile parfois les tribunaux font face est de savoir si l'avantage reconnu de l'enfant de maintenir le contact avec le Père est plus grand que l'inconvénient déclenchée par le contact dans ce cas particulier. À quel point le conflit parentale sur l'organisation de contact emportent sur l'avantage de voir le parent? Il peut être un appel très proche.

Que Pères pour la justice et ses alliés des médias (qui pointe rapidement dans misogynes ferme) choisir d'ignorer est qu'un nombre important de ces cas difficiles comprennent la violence conjugale et d'abus sexuels. Une étude a révélé que, après la séparation, 38% des parents ayant la garde a signalé la violence ou la menace de violence de leurs ex-partenaires. Les mères se plaignent des tribunaux de droit de la famille qui régissent ce contact doit être maintenu même quand il ya eu violence physique ou sexuelle de l'enfant. Pas le g

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