En un mot, on m'a donné aucune clé de mon appartement porte d'entrée pour trois semaines, dû nettoyer tout l'appartement du sol au plafond juste pour le rendre habitable, et mon nouveau propriétaire, le procureur, montrait à ma porte à l'improviste à toutes les heures, y compris tard le soir.
Dans une semaine, je ne dormait plus dans ma propre maison; laissant avant la nuit pour aller à la maison de ma fille pour dormir sur son canapé ou une chambre de motel pas cher. Très souvent, il était ivre, et m'a même apporté une bouteille de vodka, une fois, sur le bleu. Les occurrences les plus effrayants sont les avances sexuelles non désirées, dont je étouffé dans l'œuf avec un «non» ferme. Le temps qu'il marchait pendant que je était sous la douche était la dernière paille.
Peu de temps après, il a fait sa mission pour effrayer les Daylights de moi avec harceler les appels téléphoniques à partir de lui-même ou ses copains, et les étrangers figurant dans notre parking privé, ivre me confronter à plusieurs reprises. Il était visiblement très en colère que je repoussé ses avances. Enfin, je dis à ma fille de ne pas porter le bébé sur plus. Je ne voulais pas prendre le risque de les impliquer en aucune manière, ou en danger.
Je commençais contact avec l'association de la locataire locale, ainsi que toute autre organisation que je pouvais penser pour obtenir des conseils. Je l'avais signé un bail, et ne voulait pas renoncer à mon avance louer si je devais passer, puisque je l'avais presque pas d'argent. On m'a aussi appelle les avocats pour obtenir des conseils et a été choqué de constater que personne ne coopérer avec moi, et encore moins entendre mon histoire d'horreur! Je contacté chaque organisation au niveau de l'Etat, y compris le gouverneur, a déposé un grief auprès de l'association du barreau de l'État (nié; «manque de preuves») et a obtenu aucune coopération de tout le monde.
A cette époque, je l'avais été informé par le directeur de l'association du locataire de plier bagages et quitter le plus tôt possible, pour des raisons évidentes de sécurité. Je continuais à faire des appels à tous et chacun, loué un camion U-Haul, et encore une fois chargé vers le haut, avec aucune idée où je me dirigea