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Justification des intérêts bancaires et Riba

d'opérations de prêt, quoique Riba, est pas reconnu dans la charia.

intérêt de la Banque ne tombent sous la définition de Riba. Les banques ont normalement deux opérations de niveau. D'une part, ils acceptent l'argent des épargnants et de payer leur retour sur leurs économies. D'autre part, ils prêtent de l'argent aux entrepreneurs qui paient retour aux banques à un taux plus élevé que celui payé par les banques pour les épargnants. Prenons le deuxième niveau en premier. L'argent fourni par les banques à l'entrepreneur est sans aucun doute un prêt.

Toute augmentation de la quantité principal payé par l'entrepreneur dans le moût de la banque et ne tombe dans la catégorie des Riba al-nasi'ah à propos de l'interdiction dont aucun ne possède aucune réserve. Il est d'ailleurs le point de savoir si l'entrepreneur emploie et investit cet argent dans une entreprise, de commerce ou d'une entreprise industrielle. Tant que le remboursement du capital est garanti soit en raison de la garantie ou autrement il restera un prêt (Qarz) et est soumis aux principes de la Charia prêt régulation (Qarz).

En outre, le souci des banques est jamais pour assurer le succès de l'entreprise ou de participer à des risques à un stade quelconque de quelque façon. Il n'y a aucune justification morale ou légale pour exiger une augmentation au cours de cette quantité. Quant à l'argent des épargnants avec la banque, il est normalement prétendu être un Amanat (Trust). Si elle avait été vraiment une confiance qu'elle aurait dû être réglementées et gérées en vertu de la loi de fiducie. À toutes fins pratiques, juridiques et théoriques, il n'a jamais été considéré comme un Arnanat ou Trust.

Il est toujours et a toujours été traité comme un prêt et se réunit tous les ingrédients nécessaires d'un prêt (Qarz) en vertu de la charia; son remboursement est garanti et la banque a la pleine liberté d'utiliser, dépenser et à investir d'une manière quelconque qui décide de la banque; l'épargnant ne peut même pas le reprendre à volonté sans rencontrer certaines conditions. Dans certains cas, un épargnant peut reprendre que par versements et dans d'autres cas, il doit donner un préavis à la banque de son intention de retirer son 'Arnanat' de la banque.

Maintenant, si elle est un prêt, pas d'augmentation peut être recevable sur celui-ci en vertu de la définition de la Riba.

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