So, une conclusion évidente qui a été atteint était de placer la responsabilité de la supervision de tous les intermédiaires financiers dans une seule institution. Mais cela naturellement causé un problème pour les banques centrales, qui souhaitent maintenir un contrôle interne de la banque supervision.
On autre part, de tels résultats d'unification dans les économies d'échelle résultant de série unique de services centraux de soutien (services d'information, les locaux, les ressources humaines, le contrôle financier etc), une structure de gestion unifiée, une approche unifiée de l'établissement de normes, l'autorisation, la surveillance, l'application, l'éducation des consommateurs et la lutte contre la criminalité financière.
Il en résulte aussi des économies d'envergure impliquant que des services simples régulateur sera en mesure d'aborder les questions intersectorielles plus efficace et efficiente de multiples spécialiste séparée regulators.Alternatively, plaçant toute surveillance sous le toit de la banque centrale, il faudrait prendre la responsabilité de la supervision sur activités qui se trouvaient en dehors de sa sphère historique de compétence et de responsabilité. Un exemple évident de ce qui serait le risque de prix du marché par rapport au risque de crédit.
Les institutions bancaires portent surtout sur le risque de crédit, tandis que les entreprises de valeurs mobilières confrontés à un risque de prix du marché qui découle de la fluctuation des prix des titres détenus par le institution.An financière encore plus grave problème se poserait sur la façon de définir les limites entre ces sous-ensembles de marché déposants /institutions qui seraient couverts par l'assurance-dépôts, le prêteur de dernier ressort (PDR) des installations, etc., et celles non visées.
La banque centrale ne seraient pas disposés à étendre son mandat opérationnel de traiter avec les marchés