Actuellement Emery est en prison canadienne attendant son extradition vers les Etats-Unis pour "trafic de marijuana" Depuis que M.
Emery est à la fois la marijuana internationale bien connue fournisseur de semences et un grand partisan financier et moral de la légalisation du cannabis, le gouvernement américain a été après lui pendant des années. Peu importe le petit détail que Marc Emery n'a jamais été montré pour avoir vendu de la marijuana toute réelle, seulement les graines de la plante.
Marc Emery a fondé son entreprise de semences en 1994.
Depuis sa création, elle a grandi à un proche 3 millions de dollars une entreprise de l'année la vente de graines de marijuana, sur Internet, à la majorité canadiennes et les citoyens américains. Les Canadiens ont été au courant de son entreprise pendant des années, comme il le fait payer des impôts sur ses bénéfices déposées en vertu de "Marijuana Seed vender". Le total, plus de 580 000 $ de 1999 à 2005 pour les gouvernements fédéral et provinciaux canadiens.
Emery n'a pas été stockait argent non plus.
Bien qu'il dirige une entreprise de plusieurs millions de dollars, il trahit une grande partie de ses bénéfices à des groupes de légalisation du cannabis aux États-Unis et au Canada. Il a payé pour les autres peuples défense juridique dans les cas de la marijuana, des rassemblements parrainés, et a fait don à des partis politiques. Il dirige également Cannabis Culture, un magazine de la marijuana, qu'il a envoyé aux membres du Parlement canadien pendant des années. Inclus dans cet envoi était un insert pour son entreprise de semences. Il a également été vu sur Pot.
tv, une émission Internet financé et géré par Emery et associés, depuis des années maintenant. Inutile de dire que le gouvernement canadien était au courant de Marc Emery et son entreprise de semences de marijuana et a décidé que cela ne valait pas même l'arrêter plus. Ce fait n'a pas empêché la DEA de pousser la question.
Des centaines de vendeurs de semences opèrent au Canada à cette date, et le ciblage de M. Emery était simplement une question de guerre politique contre la légalisation du mouvement de la marijuana.
La DEA tous, mais à plat admis dans leur communiqué