Le 22 mai 2010, il y avait un feu à la Correction Facility Armadale juvénile dans la paroisse de St. Ann. Sept adolescentes sont morts, d'autres ont été blessées
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Comme d'habitude en Jamaïque, quand quelque chose se passe, le gouvernement lance un cirque appelé une «enquête» qui est généralement conçu pour fixer liabilty au plus bas niveau individu présent. Ceux au sommet reçoivent toute possibilité de se extraire, et que la responsabilité descend, il tombe souvent sur le constable
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Comme il est extensible, et comme il ne doit pas sa nomination à des relations avec l'élite, quel que soit blâme ne peut être apposé iront à lui ou elle.
Dans ce cas, nous avons des locaux utilisés pour contraindre les adolescentes.
Supprimer tous contemplation des adolescentes moyenne de votre esprit, parce que ce sont pas votre adolescente moyenne. Je l'ai vu ces filles. Je l'ai vu trois policiers encombrants acharné pour contraindre l'une de ces filles.
Comme si possédé par tous les démons de l'enfer, ces filles se battent, des blessures, mutiler et sont chaque définition incontrôlable
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Quoi entrées psychologiques les ont créés est seulement de valeur académique quand ils poignardent une autre personne, ou d'essayer de brûler en bas d'une maison avec des gens à l'intérieur.
Contrairement à l'homme des armes à feu moyen, qui comprend la réalité de base, ces filles font ce qu'ils veulent quand ils plaisent et sont inconscients des conséquences.
Pour voir une femme se battre avec trois policiers est l'affiche qui doit être tenue devant vos yeux, lors de l'examen Armadale.
Les locaux dans lesquels ces jeunes filles ont été logés était insuffisant. Pas assez de place, pas assez de lits, la surpopulation extrême couplé avec de longues périodes d'être verrouillé.
Les filles ont été verrouillé pour empêcher leur fuite et parce qu'ils étaient tellement difficile, voire impossible à contrôler.
< p> Que la personne en charge de l'institution serait verrouiller la porte et s'en aller avec la clé est le genre de stupidité qui se rapporte à la Jamaïque.
Souvent, une aide est donnée une clé à un classeur et quand elle décide de ne pas se présenter au travail, il n'y a pas moyen d'ouvrir ce cabinet.
Les bureaux sont enfermés dans à peu près de la même manière, de sorte que si l'on décide d'aller déjeuner et verrouiller le bureau, personne ne peut entrer en jusqu'à ce qu'il ou elle obtient en retour,