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Le principe de la prévisibilité raisonnable en cause pour des dommages pour la torture mentale partie 2

Le principe de la prévisibilité raisonnable en costume pour dommages-intérêts pour la torture mentale Partie 2

Par

SJ Tubrazy

< p> Le critère de prévisibilité doit être jugé »de la norme d'un homme de prudence ordinaire qui prévoirait que tout acte illicite, accident ou des blessures à une personne ou bien serait '. être une cause probable de choc mental à ces parents ou des personnes, qui étaient très proches de la victime, mais ne sont ni présents sur les lieux de l'événement, ni témoins de l'incident.


Un autre aspect à considérer est de savoir si un demandeur qui n'a pas vu l'incident, ni subi aucune blessure physique peut déposer action en dommages. Une personne qui est mis à "une crainte raisonnable de blessure immédiate" aride souffre des blessures physiques dues à des chocs dus aux risques d'impact physique si elle n'a pas concrétisé, peut intenter une action en dommages-intérêts. Cependant, une action sera également mentir pour le choc causé par la vue réelle ou sonore ou la crainte de blessure physique immédiat à un ami ou un parent.

La présence du demandeur sur les lieux de l'événement est plus une condition préalable pour réclamer des dommages-intérêts. Il est pas la seule vue de choc provoquant qui donne droit à un demandeur des dommages prétendant mais si tel choc a été subi par le son ou l'audition de l'incident, la réclamation peut être faite.

Il peut être pas d'étalon ou définitive principe assesging dommages dans de tels cas. Les dommages sont destinés à compenser une partie qui souffre d'une injure.

Il peut être des blessures corporelles perte de réputation, entreprise et aussi choc mental et de la souffrance. Jusqu'ici choc nerveux est concerné, il dépend de la preuve produite pour prouver la nature, l'étendue et l'ampleur de ces souffrances, mais même sur cette base en général, il devient difficile d'évaluer une compensation juste et si ces circonstances, il est la discrétion du juge qui peut, sur des faits de l'affaire et compte tenu de la façon dont la mesure la société serait jugé être une somme équitable, détermine le montant à être décerné à une personne qui a subi un tel dommage.

La conscience de la Cour doit être convaincue que les dommages-intérêts accordés seraient, sinon complètement, de compenser de manière satisfaisante la partie lésée.


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