Pas question de la littérature dans Vizetellys Case
othèques itinérantes de la puissance pour assainir la fiction anglaise suggère qu'il croyait en la liberté littéraire, romancier comme l'avocat Edward Clarke voyait évidemment "pas question de littérature» dans le cas de Vizetelly. Le mépris de Gissing les traductions Zola a fait écho le conseil stridente de la NVA, qui avait conseillé que si un homme doit lire le laisser apprendre le français. Il avait sans doute quelque motif delà de rattraper ce que l'indécence qu'il pouvait, ou qu'il ne prendrait pas la peine d'apprendre la langue.