Dans certains cas, des discussions en ligne de travailleurs pourraient même créer des problèmes juridiques pour leurs employeurs. Sociétés cotées en bourse, par exemple, sont tenus de respecter des règles strictes lors de la publication d'informations qui pourraient matériellement affecter le cours de leurs actions.
Un poste indiscrète sur la page Facebook d'un employé pourrait mettre une entreprise sur le mauvais côté des lois sur les valeurs mobilières en permettant à un groupe restreint de personnes - les amis Facebook de cet employé -. L'accès à certains renseignements avant qu'il ne soit disponible à d'autres investisseurs
Les employeurs ont à la fois un droit et une responsabilité de contrôler la circulation de l'information au public.
Puisque les employés ont pas besoin pour communiquer avec quelqu'un d'autre que des collègues pour les fins de l'organisation, les communications en ligne qui vont au-delà de ce groupe ne devrait pas être protégé.
Curieusement, dans ses décisions jusqu'ici, le NLRB a porté plus sur le contenu des commentaires en ligne que le public.
Dans le cas de Wal-Mart, par exemple, le NLRB a fondé son argumentation sur l'affirmation selon laquelle l'employé n'a pas été à la recherche "d'engager ou inciter co-travailleurs de participer à l'action de groupe", mais avait plutôt destiné à "exprimer que sa frustration concernant son litige individuel avec le directeur adjoint ". Dans un forum public, cependant, même les tentatives visant à engager dans l'action de groupe pourrait être inutilement dommageable pour les employeurs. Les commentaires de l'employé Wal-Mart étaient visibles que pour ses amis Facebook.
Mais alors que beaucoup de ces amis ont été co-travailleurs, d'autres ne sont pas, en plaçant la discussion carrément dans la région frontalière nouvellement créé entre public et privé.
Le courant NLRB ne nous a pas donné beaucoup de raisons d'espérer rationnelle ou même- l'application équitable de la loi du travail. Mais étant donné le volume de cas portant sur les médias sociaux, je dois quelque espoir que ce sera au moins formuler quelques lignes directrices du sens commun sur cette question, si seulement pour se sauver des maux de tête.
Ces règles devraient faire la distinction entre les communications qui sont bien ciblées à des collègues et ceux qui ne sont pas, et aussi ceux qui traitent de questions liées au travail sans que ni divu