Les secteurs qui ont été plus durement touchés sont l'agriculture, la fabrication et les services sociaux, alors que le fardeau de l'ajustement est tombé régressive sur les groupes sociaux pauvres et faibles.
Ces faits devraient être suffisantes pour réaliser la fausseté des notions illusoires que les pays du Tiers Monde ne peuvent pas vivre sans l'aide de prêts étrangers. Qui a, en effet, bénéficié de ce système? Cette question est examinée de près par un chercheur canadien Jacques B. Gélinas dans son livre «liberté de la dette".
Il dit:
"Le modèle de développement à base étrangère -aid a prouvé lui-même impuissant à mettre un seul pays sortir de la dépendance économique et financière Cependant, il est avéré être une source de richesse fabuleuse, pour certains. Troisième élites du monde, donnant naissance à une nouvelle forme de pouvoir et une classe socio-politique qui peut à juste titre être appelé le `aidocracy". `