"Ceci est une tectonique changement dans l'informatique qui va prendre plusieurs années à se dérouler ", a déclaré Adam Selipsky, vice-président chez Amazon Web Services, le bras de cloud computing du détaillant en ligne. «Malgré les difficultés, sur le sol, le nuage qui se passe en Europe."
Europe embrasse le nuage malgré la complexité des lois de protection des données de l'Union.
En plus d'interdire le transfert de données sur les citoyens européens en dehors de l'Union, il existe de nombreuses versions différentes de ce qui est considéré comme une information privée et la façon dont il est censé être manipulés. Qui en fait un casse-tête juridique pour élaborer des normes qui satisfont tous les Etats membres.
Pour les entreprises européennes, les économies de coûts sont la plus grande attraction du nuage.
Les centres de données en nuage sont généralement vastes collections de serveurs informatiques et l'équipement de soutien géré par les entreprises qui se spécialisent dans le traitement des données en gros. Les centres sont conçus pour fournir l'utilisation la plus efficace de tout le stockage et la puissance de calcul, évitant les temps d'arrêt coûteux et berce typique des petites entreprises.
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Selipsky dit que les clients d'Amazon généralement enregistrés 25 pour cent à 30 pour cent des coûts en en utilisant son réseau en nuage mondial au lieu de maintenir leurs propres systèmes informatiques. Amazon permet à ses clients de stocker leurs informations à l'un de ses centres de données mondiaux.
M. Allason, le fondateur SHUTL, a déclaré que l'utilisation de services de cloud computing d'Amazon l'avait sauvé d'avoir à dépenser 100 000 £ ou 160 000 $, à mettre en place un système informatique interne.
Il a dit qu'il avait utilisé les économies pour construire son entreprise, qui regroupe et relie les ordres de livraison des détaillants britanniques comme Argos et Oasis à des centaines de services de messagerie locaux.
Le cloud computing pourrait obtenir un ascenseur bientôt de Bruxelles, où les législateurs revoient la directive sur la protection des données de l'Union européenne, qui régit la façon dont les renseignements personnels se déplace à l'intérieur et à l'extérieur du bloc des 27 nations.
Viviane Reding, la commissaire européenne à superviser les révisions, envisage de faire une proposition cet automne.
Mme Reding, dans une interview, a déclaré qu