Quand mon fils a été diagnostiqué autiste, je me souviens avoir dit au médecin comment il était étrange d'être une de ces personnes avec un enfant spécial. Je me souviens de voir les choses sur les nouvelles ou sur les émissions spéciales de télévision sur les familles qui élèvent des enfants ayant des besoins spéciaux ou des maladies. Ces programmes ont toujours fait croire que ce fut un privilège pour les familles d'avoir ces personnes spéciales dans leur vie.
Mes yeux se déchirer et je dirais une petite prière de gratitude qu'il y avait de bonnes personnes là-bas, quelque part dans le monde. Les spectacles finiraient toujours avec des images d'une maman, un papa et un enfant nécessiteux douce au milieu, tenant par la main tout en marchant sur un trottoir ou un chemin rustique avec le soleil couchant dans certains beau ciel plein de couleurs. Contentement paisible est l'image qui vient à l'esprit de ce paysage. Je me souviens avoir dit au médecin que je ne pensais pas que je serais une de ces personnes. Eh bien, je ne suis pas une de ces personnes.
Parce qu'il n'y a pas de beau coucher de soleil ou le contentement paisible dans la vie quotidienne des familles avec enfants à besoins spéciaux. La télévision est une illusion.
Cela ne veut pas dire que nous ne disposons pas des merveilleuses expériences avec nos enfants et parfois nous apprécier ces expériences un peu plus que peut-être nous aurions si elles ne sont pas autiste. Il est tout simplement aucun moyen de se contenter de quelque chose qui provoque tant de problèmes pour l'enfant que nous aimons tant.
Le mieux que nous pouvons rassembler est l'acceptation et qui peut aller et venir chaque jour. Cela étant dit, il est vraiment un privilège d'élever un enfant autiste. Il est l'occasion de voir le monde à travers les yeux de quelqu'un avec une perspective vraiment unique.
Mon fils danses. Il aime la musique et peut se briser une chanson vers le bas dans les pièces de différents instruments, en fredonnant ou mimant simplement ces parties. Quand il danse, il est avec le sentiment de la musique. Son corps coule avec des sons doux, et rebondit avec des beats lourds.
Il ne se soucie pas comment il ressemble ou ce que quelqu'un pense. Il ne se soucie pas où il est soit. Il va danser au milieu d'un hôpital, ou dans un supermarché. Il comprend que la musique est destinée à l'émouvoir et il est pas gêné pour interpréter ses sentiments en mouvement. Il ne cherche pas à exprimer sa fraîch