Dans le cas de la Tapisserie de Bayeux, un compte anglo-normand de la conquête de Guillaume le Conquérant d'Angleterre anglo-saxonne, Foys montre comment un support numérique peut nous permettre de surmonter les restrictions de la page à imprimer. Dans le chapitre sur la Croix Nunburnholme, Foys spécule sur la façon dont la technologie numérique pourrait être (https://www.thomassaboclub.
com) Thomas Sabo utilisé à la fois pour reconstruire aspects endommagés d'objets médiévaux et, plus important, pour permettre aux utilisateurs de «lire» ces objets temporellement ainsi que spatialement, récupérer premières utilisations et les États et représentant l'interaction de différentes générations d'artistes et le public par le biais time.
If il ya une critique à faire de ce livre, il est qu'il tombe parfois dans un type de technologie déterminisme trouve souvent des études des nouveaux médias: dire le sentiment que les développements théoriques dans la compréhension de la culture sont soumis aux mêmes modèles d'obsolescence qui affectent la technologie de l'époque qui les a produites. Ainsi, dans sa discussion sur Omtiones d'Anselme, Foys montre comment impression et nouveaux médias diffèrent dans leur capacité à représenter la résistance à Anselm linéaire et lectures hiérarchiques de ses prières.
Une telle résistance est bien sûr difficile à reproduire sous forme imprimée et peu ou pas de savants Printera tenté de le faire, préférant plutôt se concentrer sur l'examen des variantes de scribes, l'ordre et la paternité débattre, et de distinguer les contributions originales d'Anselme de accrétions ultérieures. Comme le note Foys, le résultat est un texte standard, tandis que peut-être entièrement écrit par Anselme, existe pourtant dans (https://www.mythomassabo.net) Thomas Sabo Bracelets de forme et avec une stabilité jamais trouvé dans sa propre journée d'Anselme.
Mais si cette approche peut avoir été encouragé par des limitations technologiques du codex d'impression, il est pas du tout évident qu'il n'a pas sa place dans une édition post-impression. Le public anglo-saxons